8 janvier 2018 à 09:59
NordEclair - Un point qui ne suffit pas pour Belœil
Sébastien Terlin avait déclaré vouloir un 7/9 sur les trois premiers matches de 2018. Mais ce dimanche, la RUS a déjà grillé son seul et mince joker.
RUS Belœil: 2
RUSG Tertre-Hautrage: 2
Les buts : 2e Van Waeyenberghe (1-0), 7e Dor (1-1), 68e Leleu sur penalty (2-1), 77e Cousin (2-2)
Belœil : Baneton, Huin (37e Flament), Vandenberghe, Sarot, Mars, Abidellah (85e Palisse), Leleu, Bronier, Van Waeyenberghe, Delitte, Basan (80e Baysal)
RUSGTH : Leclercq, Jean-Philippe, Collier, Pottier, Bertiaux, Fassin, Dor (81e Cuche), Wantiez, Wattier (85e Volpe), Dupire, Cousin (88e Heddadji)
Cartes jaunes : Leleu, Collier, Bertiaux, Wattier, Cousin
Carte rouge : 70e Fassin
Les spectateurs ont assisté à une bonne rencontre de reprise. Celle-ci allait démarrer très fort car dès la 2e minute, une remise approximative de la défense visiteuse permettait à Van Waeyenberghe d’envoyer sa reprise dans la lucarne. Joie de courte durée car sur un joli mouvement collectif, Dor recevait le ballon dans la profondeur et l’expédiait dans le plafond (1-1). Les occasions allaient être plus nombreuses du côté de la RUSGTH avec une tentative de lob des 40 mètres de Bertiaux, qui passait à côté du but de Baneton avancé. Dès la reprise, les visiteurs allaient presser davantage et se créer deux ou trois sérieuses possibilités de prendre l’avance. Ce sont finalement les Belœillois qui allaient hériter d’un penalty, vivement contesté par leurs adversaires. Le capitaine Leleu prenait Leclercq à contre-pied. Bien servi par Dor, Cousin reprenait le ballon de la tête qui rentrait dans le but via le poteau pour rétablir l’égalité. Bertiaux allait manquer le geste du week-end avec une bicyclette qui filait de peu au-dessus. Ce partage n’arrange pas Belœil : « Nous avions décidé d’attendre Tertre et de partir en contre. Malheureusement, nous n’avons pas pu tenir les deux avantages que nous avons eus. Nous avons pourtant joué 20 minutes en supériorité numérique, » relatait Gauthier Vandenberghe.
Thierry Daussin
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